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MIDRASH POUR NOTRE TEMPS
Nature, technique, politique
Le Midrash, ensemble d'histoires issues de la tradition biblique juive, fait jouer entre eux les versets et, sans contrainte apparente, hors de toute signification... En savoir plus
Le Midrash, ensemble d'histoires issues de la tradition biblique juive, fait jouer entre eux les versets et, sans contrainte apparente, hors de toute signification figée et de tout jugement, suit un chemin buissonnier de réflexion et d'interprétation.
S'inscrivant dans cette perspective, à la lumière des allégories, des fables et des paraboles de la Bible, François Ardeven médite sur trois axes qui sont au coeur de nos préoccupations et de nos angoisses. Tout d'abord la Nature, dont la fragilité telle qu'elle s'est révélée sous les coups récents des hommes, nourrit l'anxiété écologique. Puis la Technique, divinité moderne dont les prouesses nous menacent de plus en plus - songeons au nouveau Golem que représente l'Intelligence artificielle. Enfin, la Politique qui aujourd'hui, plus que jamais, interroge les valeurs de nos démocraties.
S'appuyant également sur la philosophie, la littérature et la psychanalyse, François Ardeven nous invite à travers ses commentaires, aussi savants qu'impertinents, à porter un regard neuf sur le monde contemporain, et nous offre ainsi un Midrash pour notre temps.
Texte établi par Édith Apelbaum
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Le Midrash, ensemble d'histoires issues de la tradition biblique juive, fait jouer entre eux les versets et, sans contrainte apparente, hors de toute signification figée et de tout jugement, suit un chemin buissonnier de réflexion et d'interprétation.
S'inscrivant dans cette perspective, à la lumière des allégories, des fables et des paraboles de la Bible, François Ardeven médite sur trois axes qui sont au coeur de nos préoccupations et de nos angoisses. Tout d'abord la Nature, dont la fragilité telle qu'elle s'est révélée sous les coups récents des hommes, nourrit l'anxiété écologique. Puis la Technique, divinité moderne dont les prouesses nous menacent de plus en plus - songeons au nouveau Golem que représente l'Intelligence artificielle. Enfin, la Politique qui aujourd'hui, plus que jamais, interroge les valeurs de nos démocraties.
S'appuyant également sur la philosophie, la littérature et la psychanalyse, François Ardeven nous invite à travers ses commentaires, aussi savants qu'impertinents, à porter un regard neuf sur le monde contemporain, et nous offre ainsi un Midrash pour notre temps.
Texte établi par Édith Apelbaum
Traduire et transmettre
Les langues juives en traduction
Le livre est composé de deux parties :
... En savoir plusLe livre est composé de deux parties :
- la première présente les actes du colloque : Les langues juives en traduction, organisé en novembre 2021 par le Centre Medem,
- la seconde, des poésies, des chansons, des proverbes en yiddish, hébreu, judéo-espagnol et judéo-arabe, avec des traductions inédites. Des codes QR renvoient vers l’enregistrement (audio ou vidéo) des textes. Les proverbes sont illustrés par des dessins d’amateurs et d’enfants.
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Le livre est composé de deux parties :
- la première présente les actes du colloque : Les langues juives en traduction, organisé en novembre 2021 par le Centre Medem,
- la seconde, des poésies, des chansons, des proverbes en yiddish, hébreu, judéo-espagnol et judéo-arabe, avec des traductions inédites. Des codes QR renvoient vers l’enregistrement (audio ou vidéo) des textes. Les proverbes sont illustrés par des dessins d’amateurs et d’enfants.
De Babylone à New York
Métamorphoses du Pourim Shpil
Catalogue de l’exposition du Collectif Pourim Shpil inaugurée à la Mairie Paris Centre le 11 mars 2022.
... En savoir plusCatalogue de l’exposition du Collectif Pourim Shpil inaugurée à la Mairie Paris Centre le 11 mars 2022.
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Catalogue de l’exposition du Collectif Pourim Shpil inaugurée à la Mairie Paris Centre le 11 mars 2022.
L'exposition dans les associations du Collectif Pourim Shpil
Editeur: Collectif Pourim Shpil
ISBN: 97829527357734
Date de parution: 11/03/2022
Tablier de cuisine
Centre Medem
À l'issue de l'atelier cuisine vous pouvez acheter le tablier du Centre Medem qui vous rappelera votre après-midi convivial.
... En savoir plusÀ l'issue de l'atelier cuisine vous pouvez acheter le tablier du Centre Medem qui vous rappelera votre après-midi convivial.
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À l'issue de l'atelier cuisine vous pouvez acheter le tablier du Centre Medem qui vous rappelera votre après-midi convivial.
Histoire générale du BUND
Un mouvement révolutionnaire juif
Réédition du livre d’Henri Minczeles paru en février 1999, préfacé par Constance Pâris de Bollardière.Le fil... En savoir plus
Réédition du livre d’Henri Minczeles paru en février 1999, préfacé par Constance Pâris de Bollardière.Le fil conducteur de ce livre est l’histoire du Bund entre 1890 et 1949.
Le Bund, organisation sociale-démocrate des ouvriers juifs, né dans la clandestinité en 1897, fut le premier parti politique juif, socialiste, marxiste et laïque. Il rassembla nombre de juifs de Pologne, de Lituanie et de Russie qui luttèrent avec acharnement contre l’autocratie tsariste. Bien plus qu’une simple formation politique, le Bund sut développer un véritable mouvement culturel dont le yiddish fut la sève. Souvent décrié au sein des masses juives elles-mêmes, que ce soit par les religieux, les sionistes de toutes tendances et même par les communistes et les libéraux, le Bund fut de tous les combats contre l’oppression russe, soviétique, polonaise et nazie. Pour la première fois, voici l’épopée de ce mouvement, de sa naissance jusqu’aux dernières purges staliniennes, en passant par les révolutions de 1905 et de 1917 et par l’insurrection du ghetto de Varsovie. Ce livre restitue aussi ce que fut la vie et l’action de ses leaders et de ses militants, que la Shoah a ensevelis et dont les cendres ont été balayées par une Histoire bien oublieuse.
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Réédition du livre d’Henri Minczeles paru en février 1999, préfacé par Constance Pâris de Bollardière.Le fil conducteur de ce livre est l’histoire du Bund entre 1890 et 1949.
Le Bund, organisation sociale-démocrate des ouvriers juifs, né dans la clandestinité en 1897, fut le premier parti politique juif, socialiste, marxiste et laïque. Il rassembla nombre de juifs de Pologne, de Lituanie et de Russie qui luttèrent avec acharnement contre l’autocratie tsariste. Bien plus qu’une simple formation politique, le Bund sut développer un véritable mouvement culturel dont le yiddish fut la sève. Souvent décrié au sein des masses juives elles-mêmes, que ce soit par les religieux, les sionistes de toutes tendances et même par les communistes et les libéraux, le Bund fut de tous les combats contre l’oppression russe, soviétique, polonaise et nazie. Pour la première fois, voici l’épopée de ce mouvement, de sa naissance jusqu’aux dernières purges staliniennes, en passant par les révolutions de 1905 et de 1917 et par l’insurrection du ghetto de Varsovie. Ce livre restitue aussi ce que fut la vie et l’action de ses leaders et de ses militants, que la Shoah a ensevelis et dont les cendres ont été balayées par une Histoire bien oublieuse.
Editeur: L'échapée
ISBN: 978-2373091090
Date de parution: 16 septembre 2022
POUR UN MIDRASH LAÏC
Dans la tradition du Midrash, ensemble d’histoires tissées de paraboles, d’allégories et de fables qui accompagnent au cours du temps la révélation de la... En savoir plus
Dans la tradition du Midrash, ensemble d’histoires tissées de paraboles, d’allégories et de fables qui accompagnent au cours du temps la révélation de la Torah, François Ardeven médite sur de grandes figures bibliques. À la lumière de la psychanalyse, de la littérature et de la philosophie — convoquant Freud, Goethe, Lévinas... —, il aborde quatre dimensions de l’expérience humaine, brosse quatre portraits avec leur couleur et leur douleur propres : Job et sa longue plainte, Jonas coupable d’avoir raison, Esther qui pérennise l’exil, et Joseph, plus heureux en Égypte qu’avec les siens. Érudites et inspirées, ces quatre lectures — issues de séminaires tenus dans le cadre du Centre Medem, centre tout à la fois juif et laïc — se déploient dans un style alerte, gardant la trace de la spontanéité propre à l’oralité et à la pratique du libre commentaire de la Bible. Professeur de lettres classiques et psychanalyste, François Ardeven a étudié la philosophie et les mathématiques, et il est docteur en psychopathologie clinique et psychanalyse.
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Dans la tradition du Midrash, ensemble d’histoires tissées de paraboles, d’allégories et de fables qui accompagnent au cours du temps la révélation de la Torah, François Ardeven médite sur de grandes figures bibliques. À la lumière de la psychanalyse, de la littérature et de la philosophie — convoquant Freud, Goethe, Lévinas... —, il aborde quatre dimensions de l’expérience humaine, brosse quatre portraits avec leur couleur et leur douleur propres : Job et sa longue plainte, Jonas coupable d’avoir raison, Esther qui pérennise l’exil, et Joseph, plus heureux en Égypte qu’avec les siens. Érudites et inspirées, ces quatre lectures — issues de séminaires tenus dans le cadre du Centre Medem, centre tout à la fois juif et laïc — se déploient dans un style alerte, gardant la trace de la spontanéité propre à l’oralité et à la pratique du libre commentaire de la Bible. Professeur de lettres classiques et psychanalyste, François Ardeven a étudié la philosophie et les mathématiques, et il est docteur en psychopathologie clinique et psychanalyse.
LA MEGUILLA D’ITSIK
En 1936 à Varsovie, Itsik Manguer publiait ses Megile-lider (Chants sur le Rouleau d’Esther) : un cycle poétique parodique, transposant l’intrigue du Livre d’Esther,... En savoir plus
En 1936 à Varsovie, Itsik Manguer publiait ses Megile-lider (Chants sur le Rouleau d’Esther) : un cycle poétique parodique, transposant l’intrigue du Livre d’Esther, lu chaque année dans les synagogues lors de Pourim, dans une petite monarchie balkanique de la fin du XIXe siècle. Plus tard adaptés en pièce musicale, les textes sont mis en scène et en musique.Ce livret, édité par le Centre Medem-Arbeter Ring, est l’adaptation littéraire de cette opérette. L’ouvrage comporte le texte original de Manguer, en yiddish, et sa traduction française, repoétisée par Bernard Vaisbrot. 27 aquarelles de Shmuel Bunim égayent les différentes saynètes, mêlant aux personnages du Rouleau d’Esther des figures contemporaines.Les partitions de la musique originale du compositeur israélien Dov Seltzer complètent le livret.Cet ouvrage a reçu le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.Prix : 32€Promotion: 19€
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En 1936 à Varsovie, Itsik Manguer publiait ses Megile-lider (Chants sur le Rouleau d’Esther) : un cycle poétique parodique, transposant l’intrigue du Livre d’Esther, lu chaque année dans les synagogues lors de Pourim, dans une petite monarchie balkanique de la fin du XIXe siècle. Plus tard adaptés en pièce musicale, les textes sont mis en scène et en musique.Ce livret, édité par le Centre Medem-Arbeter Ring, est l’adaptation littéraire de cette opérette. L’ouvrage comporte le texte original de Manguer, en yiddish, et sa traduction française, repoétisée par Bernard Vaisbrot. 27 aquarelles de Shmuel Bunim égayent les différentes saynètes, mêlant aux personnages du Rouleau d’Esther des figures contemporaines.Les partitions de la musique originale du compositeur israélien Dov Seltzer complètent le livret.Cet ouvrage a reçu le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.Prix : 32€Promotion: 19€
Editeur: Centre Medem
ISBN: 978-2-9527357-6-6
Date de parution: 2015
MIR ZINGEN
Dans ce recueil de près de 80 titres avec leurs partitions, les traductions et les translittérations, plusieurs mémoires se côtoient : celle des luttes ouvrières... En savoir plus
Dans ce recueil de près de 80 titres avec leurs partitions, les traductions et les translittérations, plusieurs mémoires se côtoient : celle des luttes ouvrières d’avant-guerre(s), en particulier les chants du Skif et du Bund, celle de la résistance, celle du yiddish des plus grands poètes et des chants populaires traditionnels, celle de l’amitié et de la fraternité.En 1945, au lendemain de la Shoah, la communauté juive reprend en charge l’accueil des enfants ; nombre d’entre eux ont vu leurs parents déportés et sont déjudaïsés. Il s’agit dès lors de les nourrir, de les soigner, mais aussi de reconstruire leur identité juive. Pour ce faire, le chant et les chorales seront un outil de premier plan.À travers le Mouvement Populaire de l’Enfance (mouvement issu du SKIF : Union des Enfants Socialistes Juifs), le Cercle amical (Centre Medem) édite le carnet de chants Mir Zingen. Certains de ces chants ont été écrits par les grands poètes yiddish ; d’autres sont largement connus du public. La première édition de ce carnet paraît en 1948. Pendant de longues années, ce carnet sera utilisé dans les colonies de vacances et les maisons d’enfants, à Corvol, Le Mans, Maisons Laffitte, Brunoy.La réédition de ce carnet, enrichie par la translittération du yiddish, une traduction en français, les partitions des mélodies avec leur genèse, permet aux enfants, musiciens, artistes, interprètes, de retrouver et faire vivre cette part de la mémoire juive.Cet ouvrage a été publié en 2016 avec la soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.En 2017, ce recueil a été réédité. Des QR Code permettent désormais d’écouter l’ensemble des musiques du carnet de chant grâce à un smartphone.
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Dans ce recueil de près de 80 titres avec leurs partitions, les traductions et les translittérations, plusieurs mémoires se côtoient : celle des luttes ouvrières d’avant-guerre(s), en particulier les chants du Skif et du Bund, celle de la résistance, celle du yiddish des plus grands poètes et des chants populaires traditionnels, celle de l’amitié et de la fraternité.En 1945, au lendemain de la Shoah, la communauté juive reprend en charge l’accueil des enfants ; nombre d’entre eux ont vu leurs parents déportés et sont déjudaïsés. Il s’agit dès lors de les nourrir, de les soigner, mais aussi de reconstruire leur identité juive. Pour ce faire, le chant et les chorales seront un outil de premier plan.À travers le Mouvement Populaire de l’Enfance (mouvement issu du SKIF : Union des Enfants Socialistes Juifs), le Cercle amical (Centre Medem) édite le carnet de chants Mir Zingen. Certains de ces chants ont été écrits par les grands poètes yiddish ; d’autres sont largement connus du public. La première édition de ce carnet paraît en 1948. Pendant de longues années, ce carnet sera utilisé dans les colonies de vacances et les maisons d’enfants, à Corvol, Le Mans, Maisons Laffitte, Brunoy.La réédition de ce carnet, enrichie par la translittération du yiddish, une traduction en français, les partitions des mélodies avec leur genèse, permet aux enfants, musiciens, artistes, interprètes, de retrouver et faire vivre cette part de la mémoire juive.Cet ouvrage a été publié en 2016 avec la soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.En 2017, ce recueil a été réédité. Des QR Code permettent désormais d’écouter l’ensemble des musiques du carnet de chant grâce à un smartphone.
Le Comité Antifasciste Juif
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Créé en URSS en pleine guerre mondiale, le CAJ est à la fois un comité d'intellectuels juifs résistants, le terreau dans lequel la vie culturelle juive yiddish croit pouvoir se réaliser et, pour le pouvoir soviétique, un instrument de propagande vers l'Occident. Soumis en secret à une surveillance sévère, il est interdit en 1948. Son destin s'achève tragiquement le 12 août 1952, lors de la "nuit des poètes assassinés". L'exposition, organisée par le Centre Medem - Arbeter Ring en 2015, permet de saisir les aspects politiques de l'action juive durant la Shoah. C'est aussi un hommage aux intellectuels et artistes yiddish dont la culture a été assassinée par le nazisme et par le stalinisme, et un salut à ces militants qui eurent foi en un avenir radieux, à ces Juifs d'URSS qui crurent avec naïveté que l'antisémitisme disparaîtrait. Cette exposition a reçu le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.
Les contes de Bobè
Cinq contes merveilleux et doux qui parlent d’un monde où les oiseaux rêveurs ont la tête au ciel, où les enfants nuages se disputent et parfois se font gronder,... En savoir plus
Cinq contes merveilleux et doux qui parlent d’un monde où les oiseaux rêveurs ont la tête au ciel, où les enfants nuages se disputent et parfois se font gronder, où le vent console l’arbre en peine...où des amis se perdent et se retrouvent.Après "Pour un midrash laïc", co-écrit avec François Ardeven, Edith Apelbaum a poursuivi son chemin d’écriture dans une direction bien différente. Des contes lui sont venus. Ils s’adressent à de jeunes enfants, et à tous ceux qui les liront. Illustrations du peintre Ilias Kyriakidis.
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Cinq contes merveilleux et doux qui parlent d’un monde où les oiseaux rêveurs ont la tête au ciel, où les enfants nuages se disputent et parfois se font gronder, où le vent console l’arbre en peine...où des amis se perdent et se retrouvent.Après "Pour un midrash laïc", co-écrit avec François Ardeven, Edith Apelbaum a poursuivi son chemin d’écriture dans une direction bien différente. Des contes lui sont venus. Ils s’adressent à de jeunes enfants, et à tous ceux qui les liront. Illustrations du peintre Ilias Kyriakidis.
MÉTAMORPHOSE DES MÉLODIES
M.TAUBER chant et L.GRYNSZPAN piano
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Double album en yiddish et hébreu de Michèle Tauber, accompagnée au piano par Laurent Grynszpan. "Le yiddish et l’hébreu sont comme deux jumelles sous un même toit ", affirmation de Dov Sadan reprise par Aharon Appelfeld, exprimant le long cheminement de ces deux langues liées par une même culture au fil des siècles. C’est à ces langues et à cette culture que Michèle Tauber est intimement reliée, en particulier à la musique de leur poésie. Ce double album est un double hommage à l'un des pères fondateurs de la littérature yiddish moderne, Yitskhok Leybush Peretz, auteur de de la nouvelle "A gilgl fun a nign" (1900) écrite en yiddish ET en hébreu sous le titre : "Gilgulo shel nigun".
Coupés du monde
Un militant du Bund raconte la survie et la résistance juives sous l’occupation nazie en Pologne
Un militant du Bund raconte la survie et la résistance juives sous l’occupation nazie en Pologne"Dis-moi, lui demandé-je, est-ce que j’ai l’air d’un jeune... En savoir plus
Un militant du Bund raconte la survie et la résistance juives sous l’occupation nazie en Pologne"Dis-moi, lui demandé-je, est-ce que j’ai l’air d’un jeune Polonais ?" Il comprend tout de suite ce que je veux dire. Il me jette un regard assez trouble et me dit : "Non seulement tu ressembles à un jeune Polonais, mais tu as même l’air d’un antisémite".La physionomie de Yankev Celemenski a en effet été déterminante pour la réussite des missions menées pour le Bund à travers la Pologne fragmentée sous domination nazie. Mais elle n’a pas compté autant que son courage et son engagement dans la solidarité et la défense du "peuple juif assassiné".Son récit nous entraîne dans ses actions clandestines dans les villes puis les ghettos et, après l’insurrection du Ghetto de Varsovie qu’il connaît, dans les forêts, refuges des partisans et des combattants juifs. Il délivre alors information, littérature clandestine, conseils, subsides et coordonne les actions de la Résistance. Actif jusqu’au bout, il survit au soulèvement de la capitale, mais n’échappe pas à la déportation… comme Polonais.Acteur de l’Histoire, il a côtoyé les grandes figures socialistes de la résistance juive ou polonaise, tout en portant un regard tendre et fraternel sur les plus démunis dont il partage les souffrances.Ce récit, écrit en yiddish et enfin traduit en français, permet à Yankev Celemenski de nous faire partager une épopée rare, d’une richesse exceptionnelle, fruit d’une grande probité intellectuelle et d’une profonde humanité. Traduction du yiddish en français par Michel Celemenski, avec la collaboration de Patricia Chandon-Piazza sous la direction de Bernard Vaisbrot
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Un militant du Bund raconte la survie et la résistance juives sous l’occupation nazie en Pologne"Dis-moi, lui demandé-je, est-ce que j’ai l’air d’un jeune Polonais ?" Il comprend tout de suite ce que je veux dire. Il me jette un regard assez trouble et me dit : "Non seulement tu ressembles à un jeune Polonais, mais tu as même l’air d’un antisémite".La physionomie de Yankev Celemenski a en effet été déterminante pour la réussite des missions menées pour le Bund à travers la Pologne fragmentée sous domination nazie. Mais elle n’a pas compté autant que son courage et son engagement dans la solidarité et la défense du "peuple juif assassiné".Son récit nous entraîne dans ses actions clandestines dans les villes puis les ghettos et, après l’insurrection du Ghetto de Varsovie qu’il connaît, dans les forêts, refuges des partisans et des combattants juifs. Il délivre alors information, littérature clandestine, conseils, subsides et coordonne les actions de la Résistance. Actif jusqu’au bout, il survit au soulèvement de la capitale, mais n’échappe pas à la déportation… comme Polonais.Acteur de l’Histoire, il a côtoyé les grandes figures socialistes de la résistance juive ou polonaise, tout en portant un regard tendre et fraternel sur les plus démunis dont il partage les souffrances.Ce récit, écrit en yiddish et enfin traduit en français, permet à Yankev Celemenski de nous faire partager une épopée rare, d’une richesse exceptionnelle, fruit d’une grande probité intellectuelle et d’une profonde humanité. Traduction du yiddish en français par Michel Celemenski, avec la collaboration de Patricia Chandon-Piazza sous la direction de Bernard Vaisbrot
Yankev Celemenski a Vladek Home Brunoy en aout 1947
Editeur: La Fondation pour la Mémoire de la Shoah et les éditions Le Manuscrit.
ISBN: 978-2304053005
Date de parution: mars 2022
Rose en ciel
Conte poétique et musical de Mirélè Rozen
Préface Yaël Hassan - Participation de Jacinta.Un conte, une balade, une ode, un album de famille que l’on feuillette… C’est l’impression que j’en avais... En savoir plus
Préface Yaël Hassan - Participation de Jacinta.Un conte, une balade, une ode, un album de famille que l’on feuillette… C’est l’impression que j’en avais déjà eue au terme de la représentation à laquelle j’avais eu la chance d’assister. Un regard chargé d’humour, de tendresse et d’amour qui nous ramène vers des temps et un monde perdus. Le livre musical de Mirélè Rozen, « Rose en ciel », à destination de la jeunesse, est tout cela à la fois.Et ce magnifique spectacle s’est transformé en livre-Cd. Les chansons en yiddish, cette langue toujours si vivante, sublimées par la voix mélodieuse de Mirélè, y prolongent l’écho d’une mémoire familiale que l’on croit ensevelie mais qui souvent, en ce qui me concerne, revient affleurer à la surface, me submergeant inévitablement d’une douce vague de nostalgie.Quant aux illustrations d’Ophélie Trichereau, elles apportent, au fil des pages, un parfait alliage de couleur et de douceur, ajoutant au récit sa propre mélodie.Ouvrage publié avec le soutien de la Fondation Rothschild, de la Fondation d’entreprise La Poste et de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.Tout ceci est empreint d’une folle poésie.Alors jeunes lecteurs et moins-jeunes, je ne peux que vous inviter à entreprendre ce fabuleux voyage sans délai, les yeux mi-clos et le sourire aux lèvres…
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Préface Yaël Hassan - Participation de Jacinta.Un conte, une balade, une ode, un album de famille que l’on feuillette… C’est l’impression que j’en avais déjà eue au terme de la représentation à laquelle j’avais eu la chance d’assister. Un regard chargé d’humour, de tendresse et d’amour qui nous ramène vers des temps et un monde perdus. Le livre musical de Mirélè Rozen, « Rose en ciel », à destination de la jeunesse, est tout cela à la fois.Et ce magnifique spectacle s’est transformé en livre-Cd. Les chansons en yiddish, cette langue toujours si vivante, sublimées par la voix mélodieuse de Mirélè, y prolongent l’écho d’une mémoire familiale que l’on croit ensevelie mais qui souvent, en ce qui me concerne, revient affleurer à la surface, me submergeant inévitablement d’une douce vague de nostalgie.Quant aux illustrations d’Ophélie Trichereau, elles apportent, au fil des pages, un parfait alliage de couleur et de douceur, ajoutant au récit sa propre mélodie.Ouvrage publié avec le soutien de la Fondation Rothschild, de la Fondation d’entreprise La Poste et de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.Tout ceci est empreint d’une folle poésie.Alors jeunes lecteurs et moins-jeunes, je ne peux que vous inviter à entreprendre ce fabuleux voyage sans délai, les yeux mi-clos et le sourire aux lèvres…
NOTRE LANGUE D'INTÉRIEUR
DVD de Talila
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" Notre langue d’intérieur " Ces textes, écrits et dits par Talila, racontent " l’histoire d’une fille d’émigrés juifs polonais, à Paris où ils ont choisi de vivre, malgré tout, malgré la perte dont ils ne parleraient pas, occupés à travailler, à nous élever, le regard tourné vers l’avenir. Ces gens simples nous ont légué un trésor dont nous n’avions pas conscience, leur destin, leur manière d’être, leur façon de parler, leur énergie, leur courage... " L’évocation émouvante, nostalgique, d’un monde disparu, d’une famille, mais aussi d’une?époque, d’une génération et de la société dans laquelle ils vivaient. Nous pouvons toutes,?tous, nous y retrouver. " Notre madeleine à nous, c’est le hareng aux oignons. " Conception, réalisation, montage, photos : Flore Taguiev et Samuel Jouglet-Marcus Musique : Teddy Lasry Chants : Talila Production : Le collectif d’associations Yiddish sans Frontière Avec le soutien de La Fondation pour la Mémoire de la Shoah Durée DVD : 52’
Editeur: Le collectif d’associations Yiddish sans Frontière
Date de parution: Juin 2021
Dorothée
Un petit livre chantant d'Isabelle Georges
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Découvrez le livre-CD écrit et imaginé par Isabelle Georges, qui rend hommage à Dorothée Vienney, militante infatigable qui n’a eu de cesse de porter haut et fort les couleurs de la culture yiddish. Découvrez l’histoire d’une femme exceptionnelle, entrelacée de poèmes, de dessins et rythmée par huit de ses chansons yiddish préférées. Autant de petits cailloux fragiles sur le chemin de la mémoire… Du Du, Di Hoydlke, Shtil di nakht, Kum leybke tantsn, Shpil zhe mir a lidele in yiddish, Vi zhe zenen zey avek, al di blumen, Leyg dayn Kop, Zol zayn et une chanson originale, Zing princesse Daled Zing. « Les gens les plus discrets ne sont-ils pas, parfois, plus grands que les illustres héros ? » Isabelle Georges, livret & chant • Jérôme Brajtman, arrangements & guitare • Le Quatuor Anouman • Frederik Steenbrink, piano • Marc Alberman, musique originale • Myriam Racine, illustrations • Annick Prime-Margules, mise en page • Yann Lemetre, enregistrement & mixage. « Chaque message d’amour, si petit soit-il, a la nécessité d’être exprimé. Celui-ci chante et désire exister aussi au nom des autres, qui se reconnaîtront peut-être. » Jérôme Brajtman.
Les artistes juifs de l'avant-garde russe et le livre pour enfants : 1890-1945
Les artistes juifs de l’Avant-garde russe sont célèbres pour leurs tableaux et leurs sculptures. Ce que l’on sait moins, c’est que, par idéologie ou par... En savoir plus
Les artistes juifs de l’Avant-garde russe sont célèbres pour leurs tableaux et leurs sculptures. Ce que l’on sait moins, c’est que, par idéologie ou par nécessité, ils ont participé à la révolution des idées et à l’éducation des masses populaires à travers le livre pour enfants. Si certains conservèrent leur attachement à la culture yiddish, d’autres s’adressèrent à l’ensemble de la population enfantine russe. Cette exposition a pour but de faire connaître ce pan méconnu de leur art.Ces ouvrages, en particulier les livres de poésie, sont encore lus de nos jours par les enfants en Russie. Les peintres/illustrateurs et les poètes les plus célèbres ont travaillé ensemble afin d’éduquer les enfants de leur temps, trop souvent illettrés.Pêle-mêle, on repère dans ces livres un grand nombre de sujets pédagogiques : leçons de choses (vie animale, plantes), leçons sur la modernité (les usines, la fabrication des moyens de transports, le pétrole), la valeur du travail, le rôle des pionniers, le travail des femmes, et les thèmes de l’Union soviétique (anticapitalisme). La culture y tient aussi une grande place, le livre étant la valeur dominante avec la musique. Les enfants ont ainsi de petits livres très bon marché à leur disposition, écrits et illustrés par les plus grands maîtres.La Fondation pour la Mémoire de la Shoah a apporté son soutien à cette exposition.
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Les artistes juifs de l’Avant-garde russe sont célèbres pour leurs tableaux et leurs sculptures. Ce que l’on sait moins, c’est que, par idéologie ou par nécessité, ils ont participé à la révolution des idées et à l’éducation des masses populaires à travers le livre pour enfants. Si certains conservèrent leur attachement à la culture yiddish, d’autres s’adressèrent à l’ensemble de la population enfantine russe. Cette exposition a pour but de faire connaître ce pan méconnu de leur art.Ces ouvrages, en particulier les livres de poésie, sont encore lus de nos jours par les enfants en Russie. Les peintres/illustrateurs et les poètes les plus célèbres ont travaillé ensemble afin d’éduquer les enfants de leur temps, trop souvent illettrés.Pêle-mêle, on repère dans ces livres un grand nombre de sujets pédagogiques : leçons de choses (vie animale, plantes), leçons sur la modernité (les usines, la fabrication des moyens de transports, le pétrole), la valeur du travail, le rôle des pionniers, le travail des femmes, et les thèmes de l’Union soviétique (anticapitalisme). La culture y tient aussi une grande place, le livre étant la valeur dominante avec la musique. Les enfants ont ainsi de petits livres très bon marché à leur disposition, écrits et illustrés par les plus grands maîtres.La Fondation pour la Mémoire de la Shoah a apporté son soutien à cette exposition.
L'indigo une couleur cosmopolite
Depuis le XIIe siècle, le bleu est progressivement devenu la couleur préférée des Occidentaux. Réservé au manteau de la Vierge au Moyen Age, il a... En savoir plus
Depuis le XIIe siècle, le bleu est progressivement devenu la couleur préférée des Occidentaux. Réservé au manteau de la Vierge au Moyen Age, il a été adopté par Louis IX en France, devenant la couleur royale par excellence. L’Europe connaissait alors la teinture bleue extraite d’une plante : la waide (Nord) ou guède (Sud), ou Isatis tinctoria, ou pastel. On faisait sécher les feuilles, puis on les broyait avant d’en faire des boules appelées cocagnes. En France, cette technologie a été une source de richesse dans le midi toulousain (le pays de cocagne) et dans la région d’Amiens. L’expansion des routes commerciales, puis les conquêtes coloniales, ruinent le commerce du pastel, avec la découverte de l’indigo, en provenance de l’Inde : ce bleu est plus intense, plus durable, et moins coûteux. L’Europe, désireuse de diminuer ses importations, encourage la culture de l’indigo dans ses colonies. Avec Saint- Domingue, la France en devient alors le premier pays exportateur. L’indigo garde une place prépondérante jusqu’à la fin du XIXe siècle. Très attentifs à leur balance commerciale, les pays européens organisent un «marché pour et par l’Europe» (Marguerite Martin, teindre en bleu après 1789). En France, les barrières douanières intérieures sont abolies en 1790. En 1878, un ingénieur chimiste allemand, Adolf von Baeyer, parvient à créer une teinture bleue artificielle. Cela signe la fin de l’utilisation de l’indigo en Occident... jusqu’à la résurgence de l’indigo naturel : la vogue écologique actuelle le remet à l’honneur de façon confidentielle.
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Depuis le XIIe siècle, le bleu est progressivement devenu la couleur préférée des Occidentaux. Réservé au manteau de la Vierge au Moyen Age, il a été adopté par Louis IX en France, devenant la couleur royale par excellence. L’Europe connaissait alors la teinture bleue extraite d’une plante : la waide (Nord) ou guède (Sud), ou Isatis tinctoria, ou pastel. On faisait sécher les feuilles, puis on les broyait avant d’en faire des boules appelées cocagnes. En France, cette technologie a été une source de richesse dans le midi toulousain (le pays de cocagne) et dans la région d’Amiens. L’expansion des routes commerciales, puis les conquêtes coloniales, ruinent le commerce du pastel, avec la découverte de l’indigo, en provenance de l’Inde : ce bleu est plus intense, plus durable, et moins coûteux. L’Europe, désireuse de diminuer ses importations, encourage la culture de l’indigo dans ses colonies. Avec Saint- Domingue, la France en devient alors le premier pays exportateur. L’indigo garde une place prépondérante jusqu’à la fin du XIXe siècle. Très attentifs à leur balance commerciale, les pays européens organisent un «marché pour et par l’Europe» (Marguerite Martin, teindre en bleu après 1789). En France, les barrières douanières intérieures sont abolies en 1790. En 1878, un ingénieur chimiste allemand, Adolf von Baeyer, parvient à créer une teinture bleue artificielle. Cela signe la fin de l’utilisation de l’indigo en Occident... jusqu’à la résurgence de l’indigo naturel : la vogue écologique actuelle le remet à l’honneur de façon confidentielle.
Recettes de l'Atelier Cuisine yiddish
Les habitudes culinaires sont une des formes de l’expression culturelle d’un peuple, un témoignage de son histoire et de sa tradition.A chaque fête de l’année... En savoir plus
Les habitudes culinaires sont une des formes de l’expression culturelle d’un peuple, un témoignage de son histoire et de sa tradition.A chaque fête de l’année juive sont associées certains plats traditionnels.Imprégnés des goûts de cette cuisine, nous avons constitué nos souvenirs culinaires.Au travers de ce livret, nous pourrons découvrir quelques plats authentiques de la cuisine yiddish du shtetl, transmis et à transmettre de génération en génération.
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Les habitudes culinaires sont une des formes de l’expression culturelle d’un peuple, un témoignage de son histoire et de sa tradition.A chaque fête de l’année juive sont associées certains plats traditionnels.Imprégnés des goûts de cette cuisine, nous avons constitué nos souvenirs culinaires.Au travers de ce livret, nous pourrons découvrir quelques plats authentiques de la cuisine yiddish du shtetl, transmis et à transmettre de génération en génération.
Rue Amelot - Un réseau clandestin pendant la guerre
Les cinq premiers acheteurs du catalogue de l'exposition recevront en cadeau le livre Rue Amelot - Aide et Résistance de Jules JACOUBOVITCH
1940, Paris est envahi par les Allemands. Quelques personnes appartenant à des organisations s’occupant des juifs immigrés en France se mobilisent et créent le Comite de... En savoir plus
1940, Paris est envahi par les Allemands. Quelques personnes appartenant à des organisations s’occupant des juifs immigrés en France se mobilisent et créent le Comite de la rue Amelot. Très vite, le comite entre en clandestinité, prenant pour façade le dispensaire de la Colonie scolaire « la Mère et l’enfant ».Trouver des faux papiers, aider les familles à survivre et surtout sauver les enfants, telles sont les tâches au quotidien de ces hommes et de ces femmes.La période est sombre, mais le combat permet de faire vivre l’espoir et s’avère efficace.Ils ont ainsi sauve? plus de 1 000 enfants. Beaucoup de ces Juifs et non Juifs qui ont œuvre? dans l’ombre ont payé leur action de leur vie...Jules JACOUBOVITCH, l’un des fondateurs du Comité, a eu la chance d’échapper à la mort. En 1948, pour que ses compagnons ne tombent pas dans l’oubli, pour témoigner de leur combat courageux, il a écrit ses mémoires.Basée sur son témoignage, l’exposition « RUE AMELOT, un réseau clandestin pendant la guerre » est le reflet de la vie quotidienne d’un réseau clandestin civil.Elle est dédiée à tous ses membres ainsi qu’aux enfants qui ont été sauvés.Les cinq premiers acheteurs du catalogue de l’exposition recevront en cadeau le livre Rue Amelot - Aide et Résistance de Jules JACOUBOVITCH,
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1940, Paris est envahi par les Allemands. Quelques personnes appartenant à des organisations s’occupant des juifs immigrés en France se mobilisent et créent le Comite de la rue Amelot. Très vite, le comite entre en clandestinité, prenant pour façade le dispensaire de la Colonie scolaire « la Mère et l’enfant ».Trouver des faux papiers, aider les familles à survivre et surtout sauver les enfants, telles sont les tâches au quotidien de ces hommes et de ces femmes.La période est sombre, mais le combat permet de faire vivre l’espoir et s’avère efficace.Ils ont ainsi sauve? plus de 1 000 enfants. Beaucoup de ces Juifs et non Juifs qui ont œuvre? dans l’ombre ont payé leur action de leur vie...Jules JACOUBOVITCH, l’un des fondateurs du Comité, a eu la chance d’échapper à la mort. En 1948, pour que ses compagnons ne tombent pas dans l’oubli, pour témoigner de leur combat courageux, il a écrit ses mémoires.Basée sur son témoignage, l’exposition « RUE AMELOT, un réseau clandestin pendant la guerre » est le reflet de la vie quotidienne d’un réseau clandestin civil.Elle est dédiée à tous ses membres ainsi qu’aux enfants qui ont été sauvés.Les cinq premiers acheteurs du catalogue de l’exposition recevront en cadeau le livre Rue Amelot - Aide et Résistance de Jules JACOUBOVITCH,
DE VIVE VOIX 1
DE VIVE VOIX 2
Les numéros 1 et 2 des cahiers de l’Université Populaire Medem de 2010 et 2015 sont au prix de 5 euros pour les deux revues.
... En savoir plusLes numéros 1 et 2 des cahiers de l’Université Populaire Medem de 2010 et 2015 sont au prix de 5 euros pour les deux revues.
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Les numéros 1 et 2 des cahiers de l’Université Populaire Medem de 2010 et 2015 sont au prix de 5 euros pour les deux revues.
Editeur: Centre Medem
ISBN: 9782952735728
Date de parution: 01/2011 et 01/2016
Sac
avec le logo du Centre Medem
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Créateur: Centre Medem